Archives 2012

Archives 2012 - Inside Management

Consultez tous nos articles publiés en 2012 dans la rubrique blog. De l’imprimante 3D au capitalisme familial, en passant par le numérique, les ETI, Lyon…

Imprimantes 3D : la révolution industrielle au service de tous

Technologie datant de bientôt 30 ans, jusqu’à présent essentiellement réservée à l’industrie pour la conception de prototypes, l’imprimante 3D est en passe de bouleverser le quotidien du plus grand nombre.

Une imprimante traditionnelle, qui additionne le plastique couche par couche jusqu’à former un véritable objet, en 3D… c’est désormais possible. Cette “machine à vapeur du XXIe siècle” est commandée par un ordinateur qui lit un simple fichier contenant le modèle d’un objet en trois dimensions.

L’imprimante 3D pourrait bien engendrer un boom aussi puissant que l’apparition d’internet. Capable de révolutionner la façon dont nous produisons et dont nous consommons, son impact serait majeur sur l’ensemble des secteurs économiques.

“Il y a aujourd’hui 22 000 pièces créées par l’impression 3D dans les avions Boeing” explique Terry Wholers, expert en nouvelles technologies industrielles. Si jusqu’à présent la plupart des produits “3D” étaient fabriqués à partir de plastiques, “les différentes techniques continuent d’évoluer, car si le verre ou l’inox peuvent être fondus… ils peuvent être imprimés”,ajoute-t-il.

Une solution à de nombreux problèmes ? Les nouveaux produits peuvent désormais être imprimés sur place à moindre coût, plus aucune raison de prototyper en Chine. La production de masse n’est plus d’actualité : l’impression s’effectuera en fonction des besoins. Il vous faut une pièce pour réparer votre voiture ? Retrouvez-la dans votre disque dur, et imprimez-la !

Fiction ou révolution, le progrès technologique est un élément vital pour l’avenir de notre société.

Source : JDN – novembre 2012.
Expert en solutions 3d professionnelles : www.kreos.fr

Économie et industrie : un vent d’optimisme

Malgré une demande relativement faible, l’activité économique française en octobre a montré quelques signes encourageants, notamment dans l’industrie.

Les prévisions générales restent néanmoins à considérer avec prudence. Mais si une baisse d’activité était observée depuis plusieurs mois au sein de l’industrie, octobre marque un retour à la stabilité, tant au niveau de la production que de la situation des carnets de commandes.

L’industrie comptant pour plus de 20% des effectifs en France, le maintien du courant des affaires dans ce secteur est une condition sine qua non pour assurer la compétitivité générale.De manière globale, les prix des produits finis et des matières premières n’évoluent guère et la réduction des effectifs s’est interrompue. C’est le cas du BTP, secteur pour lequel les prévisions d’activité sont favorables (ressources humaines maintenues, carnets de commandes stables).

Inside management intervient au cœur des entreprises industrielles et confirme la tendance observée par nos analystes par sa présence sur le terrain.

Source : Banque de France – novembre 2012.

Entreprises pyramidales VS entreprises en réseau : un état d’esprit en évolution

Dans un environnement économique en perpétuelle évolution, les entreprises françaises doivent mettre sur la table flexibilité, réactivité et adaptabilité. Et si la meilleure structure était… l’absence de structure ?…

Les mutations, tant au niveau des rapports avec les clients qu’en matière de relations avec les salariés, imposent aux entreprises d’adapter leurs méthodes de management. Certaines d’entre elles, encore ancrées dans une culture économique révolue, l’ignorent. D’autres en revanche, optent pour l’intelligence organisationnelle.

L’entreprise pyramidale est aujourd’hui remise en cause, dans un contexte économique très évolutif. L’entreprise collaborative, ou entreprise en réseau est quant à elle sous les projecteurs. Face à une situation complexe, les structures les plus hiérarchisées choisissaient de grossir pour résister. Un choix qui s’oppose aux tendances actuelles : gestion du changement et malléabilité managériale.

Aujourd’hui, les meilleures structures sont… les entreprises sans structure. Souvent de plus petite taille, elles démontrent une faculté d’adaptation et une réactivité hors pair. L’entreprise en réseau, organisée par projets, valorise une hiérarchie temporaire, qui lui confère une grande souplesse. Pour autant, cette “intelligence collective” n’écarte pas totalement la notion de hiérarchie. Mais la démarche réseau facilite une prise de décisions plus rapide et souvent moins risquée.

Parce que chaque société est unique et porteuse de projets spécifiques, inside management sélectionne les managers intervenants et son mode d’action au cas par cas.

Administrateur judiciaire : la sauvegarde d’une entreprise

Conciliateur et négociateur, l’administrateur judiciaire est une ressource de premier ordre pour toute entreprise en situation délicate (redressement, cession…).

Désigné par le tribunal, l’administrateur judiciaire a pour responsabilité d’assurer la pérennité de l’activité de l’entreprise. Il dispose ainsi de pouvoirs lui attribuant une influence directe sur la gestion et sur le contrôle de la société en question.

Selon la situation, son degré d’intervention et sa capacité d’influence se montreront variables. Dans les cas à faible gravité, il gardera un simple rôle consultatif ; contrôler sans intervenir sur les actes de l’entreprise. En revanche, dans les cas plus extrêmes, il deviendra le substitut du chef d’entreprise et gérera intégralement la société.

Tout au long de son intervention, l’administrateur judiciaire se doit de rendre compte au tribunal référent : il fait état de l’évolution de la situation de l’entreprise ainsi que de l’atteinte progressive de ses propres objectifs. Cela fait l’objet d’un rapport d’expertise axé sur la problématique rencontrée. Ce n’est qu’au terme de sa mission qu’il suggère un plan d’action et de redressement. Quant à la liquidation judiciaire, celle-ci constitue le tout dernier recours lorsqu’aucune amélioration ne semble possible.

En amont de l’administrateur judiciaire, les managers d’inside management interviennent auprès d’entreprises en difficulté. Même si cela reste marginal dans son activité, notre cabinet propose des solutions préventives pour éviter les situations extrêmes.

Source : JDN – octobre 2012.

Le capitalisme familial, acteur du développement durable

Souvent envisagé de façon subjective, le capitalisme suscite régulièrement de nombreuses critiques et interrogations. Quant au “capitalisme familial”, celui-ci constitue un modèle unique fondé sur une valeur essentielle : la durabilité. Par nature, nos entreprises familiales contribuent au succès économique de la France depuis des décennies.

Ainsi, Vianney Mulliez, Président du groupe Auchan, déclare que, n’étant pas simplement “de passage” au sein de leur société, les actionnaires (membres d’une même famille), se sentent personnellement impliqués dans le futur de l’entreprise. Auchan, qui a pu célébrer ses 50 ans d’existence l’an dernier, démontre une meilleure capacité de résistance que celle de ses concurrents sur le long terme.

Il est prouvé que le capitalisme familial est synonyme de robustesse face au changement. Celui-ci représente également une source d’innovation et un moyen de conquête de nouveaux marchés. Business model basé sur la transparence et l’esprit d’équipe, il permet à ces entreprises d’afficher un potentiel de développement plus rapide et plus efficient. En témoignent la famille Poirier, fondatrice de Cemoi, leader français du chocolat en tablettes, ou encore la famille Pasquier, n°1 français de la brioche.

Inside management accompagne durablement les entreprises familiales, structures atypiques et à forte dimension humaine, à chaque étape de leur développement.

Source : JDN.

Micros marchés : quand les niches deviennent plus rentables que le mass market !

Plus techniques mais souvent négligés, les marchés de niche font la fortune des entreprises de croissance. Audacieuses, ces structures sont à même de présenter un potentiel de créativité et d’adaptabilité impressionnant.

Rentabilité et gros volumes ne vont pas nécessairement de pair. C’est ce que constatent ces entreprises, bien souvent des PME-PMI, qui se sont lancées à la conquête de marchés inexploités, mais pour lesquels un besoin était présent. “L’impact sur le consommateur est d’autant plus puissant lorsqu’on lui fait prendre conscience de son besoin”, expliquait Bernard Dubois, défunt professeur de marketing à HEC.

Croître de plus de 15% par an malgré la crise, c’est notamment possible pour le tourisme “de nature” ou “scientifique”, qui a le vent en poupe depuis que 92% des français aspirent à la détente et à la culture durant leurs vacances. Ainsi, Escursia, jeune PME lilloise, propose avec succès des séjours géologiques à travers le monde pour les passionnés.

En percée fulgurante également, le marché du vin bio enregistre une croissance de près de 30% avec une production qui a doublé en 2 ans. “La démarche repose sur la qualité et non le volume”, témoigne Didier Perreol, PDG d’Ekibio.

Un tiers des Français souhaite s’équiper en énergies renouvelables. Les éoliennes domestiques connaissent un succès sans précédent : “3 000 installations en 2012, contre 700 en 2010”, se félicite Alexandre Gioffredy, directeur marketing de Windeo, leader du marché.

Textile médical, colorant naturel… De nombreux secteurs à fort potentiel, qui font la réussite d’entrepreneurs audacieux, et qui bénéficient de l’expertise managériale d’inside management.

Source : JDN.

Les USA en voie de ré-industrialisation ?

Et si tout allait bien ? Voilà du moins ce que pourraient affirmer les conjoncturistes américains, qui constatent au mois de juillet la création de près de 165 000 postes.

Les industries manufacturière et automobile en sont les principales bénéficiaires. À l’heure où il est question de “crise” ou de “recul de productivité”, les États-Unis engagent un regain industriel significatif, et ce pour deux raisons principales :

  • Une volonté de faire exploser les exportations, soutenue par des prix très compétitifs en matière d’énergies.
  • Mais surtout un effort de relocalisation d’emplois et d’unités de production, auparavant situés dans des régions offrant un coût du travail avantageux.

Ce rapatriement de production depuis les pays émergents lance la ré-industrialisation progressive des USA. Outre les aspects politiques que le phénomène peut impliquer, ce sont des flux financiers et un développement technologique que le pays souhaite embrasser à terme.

Et en France ? Pourtant conscient que le défi de compétitivité nationale passera par un renforcement des capacités de production, le gouvernement semble prendre son temps pour passer de la parole aux actes. Le ministère de l’économie déclare néanmoins que nos entreprises demeurent “compétitives et prêtes à relever la bataille de l’emploi”.

Source : Les Échos / Lyon Entreprises.

JO : les chiffres dont on parle moins…

Les JO sont traditionnellement l’occasion pour la presse spécialisée de mesurer l’impact de l’événement sur l’activité économique du pays organisateur. Mais savez-vous combien de contrôles antidopage vont être réalisés durant les JO de Londres 2012 ? Combien de Big Macs vont être ingurgités dans la capitale anglaise durant cette quinzaine olympique ?…

Pour les plus curieux d’entre vous, voici quelques chiffres insolites :

• Pendant la quinzaine des JO, une équipe de 150 scientifiques va réaliser pas moins de 6250 contrôles antidopage,

• 10 500 athlètes présents, dont 332 pour la France (186 hommes et 146 femmes),

• 200 000 salariés, bénévoles et contractuels ont préparé les JO (dont 46 000 ouvriers) et 70 000 bénévoles veillent au bon déroulement des JO pendant les 2 semaines de compétition,

• McDonald’s a prévu de vendre 50 000 Big Macs, 180 000 portions de frites et 30 000 milkshakes !

Source : Le Figaro

L’industrie française : un challenger européen, au coude à coude avec l’Allemagne

Malgré le ralentissement économique général, l’Hexagone pousse ses grands groupes industriels vers le devant de la scène, face à ses confrères allemands.

Les 15 premiers grands groupes industriels européens cumulent en 2011 plus de 800 milliards d’euros. À noter la prédominance du couple franco-allemand sur le secteur : 20% de ces entreprises sont allemandes, 12% sont françaises.

Quant au top 5 des mastodontes industriels, il est uniquement composé d’acteurs français et allemands, parmi lesquels nous retrouvons les grands noms du monde automobile tels que Volkswagen, PSA et Audi. Un constat confirmé par le CA moyen des 100 plus gros groupes industriels par pays : l’Allemagne se positionne en tête du peloton et affiche une moyenne de 3,8 milliards d’euros, talonnée par la France avec 3,6 milliards d’euros.

Ce constat souffle un vent d’optimisme sur l’industrie française, qui conserve de belles perspectives en période d’instabilité générale. Une tendance confirmée par la nature des missions confiées à inside management au cours des derniers mois.

Source : Le Journal du Net / Économie & Management.

Bernard Jacob Directeur Général Ackerman

Nous avons profité de cette période estivale pour interroger l’un de nos clients sur son expérience en matière de management de transition. Bernard Jacob répond à quelques questions que vous aussi, vous vous posez peut-être…

Dans quel cadre avez-vous fait appel au management de transition ?

Notre responsable logistique voulait quitter notre société pour reprendre une entreprise rapidement. Nous avons alors lancé un processus de recrutement qui prend plusieurs mois. Nous avons décidé de faire appel au management de transition pour gérer cette période.

La mission se déroule-t-elle selon vos attentes ?

Oui parfaitement. Nos attentes étaient d’avoir la personne clé pouvant manager immédiatement 15 personnes dans ce service. Le manager de transition proposé par inside management semble avoir toujours été dans la société. La seule contrainte que j’ai pu émettre était la nécessité de trouver le bon profil pouvant s’intégrer très rapidement. Nous n’avons rencontré aucun problème.

Pourquoi avoir choisi Inside Management, jeune cabinet lyonnais ?

Suite à des recherches sur Internet. Ce qui a retenu notre attention est que l’offre s’adresse particulièrement aux PME. Pour Ackerman l’expérience est un succès ; nous serions prêts à la renouveler dans des circonstances similaires.

Pour les dirigeants qui en ont le besoin, quels conseils leur donneriez-vous dans le choix d’un cabinet en management de transition ?

Ce qui est important, c’est le “feeling” que l’on va avoir avec le cabinet. Nous sommes sur de l’humain ; chaque société a sa culture particulière. Il faut qu’il y ait compatibilité entre le cabinet de management de transition, le manager de transition et l’entreprise.

Place au numérique !

Et si l’avenir était une entreprise digitale ? Une entreprise organisée autour des nouvelles technologies et d’une gestion innovante des performances ?…

Réseaux sociaux, tablettes, organisateurs intelligents et autonomes, ces nouveaux arrivants dans le monde de l’entreprise bouleversent considérablement nos références. L’impact du numérique sur l’activité des entreprises et sur la gestion des performances et des hommes mobilise un haut niveau d’adaptation de la part des chefs d’entreprises. Ces derniers se retrouvent confrontés à une question fondamentale : comment mettre en place une stratégie numérique effective, capable d’optimiser les talents de l’entreprise ?

90% des dirigeants jugent le numérique comme indispensable à leur entreprise. Ils sont cependant bien moins nombreux à disposer d’un compte sur les réseaux sociaux. L’intégration d’une telle stratégie nécessite d’anticiper le choc des cultures, notamment entre les différentes générations qui composent l’entreprise. La fluidité et la circulation de l’information pour déclencher un processus constant d’adaptation est essentiel pour assurer ce partage des savoirs.

Désormais, le challenge majeur sera d’attirer les talents professionnels qui conduiront ce nouveau modèle. Le recrutement progressif de juniors en entreprise n’est pas anodin ; issus de la génération internet, dotés d’une meilleure faculté d’adaptation, ils composent un puits de compétences non négligeable. Dans ce contexte d’innovation permanente, Inside management vous accompagne et sécurise la mise en place de vos stratégies d’anticipation.

Source : Les Échos.

L’intelligence… n’empêche pas la crétinerie

Prisonniers de nos propres bêtises, est-ce possible ? L’évolution de notre société est telle que notre surdimensionnement intellectuel pourrait bien être terni par un aveuglement incontrôlé.

Passer plus de 10 heures par mois devant son écran d’ordinateur à échanger avec des “amis” virtuels que l’on n’a jamais vus, et que l’on ne croisera sans doute jamais… Les nouvelles technologies comme celle des réseaux sociaux ont fait des hommes et des femmes des corps conditionnés par une frénésie incontrôlable qui nous pousse à nous équiper d’instruments dont nous n’avons pas l’utilité.

Pierre Rabhi, philosophe, agriculteur et avant tout humaniste, se considère comme un “analphabète des nouvelles technologies”. Nos aptitudes et notre intelligence ont progressé à forte cadence, mais selon lui, les deux termes ne doivent pas être pour autant confondus ; il n’est pas obligatoire de faire quelque chose que l’on sait faire. Nous sommes aujourd’hui accompagnés de téléphones portables, “d’assistants de vie”, de machines en tout genre, qui nous entraînent dans une spirale infernale, semblable à de la démence, tandis que notre cœur ne peut pas battre plus vite…

Ce constat nous confirme la capacité d’évolution de chaque individu, au travers des nombreuses prouesses technologiques faites et à venir, mais il démontre également notre rapprochement progressif vers une “génération solitude” où tout est permis à distance, sans plus aucun contact humain.

Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) : les nouveaux conquistadors

Notion encore mal appréhendée, les ETI connaissent depuis près de 5 ans un développement considérable dans le monde du travail.

Les Entreprises de Taille Intermédiaire sont au cœur de la stratégie de compétitivité française. Comptant pour 30% de l’emploi, ces structures, à mi-parcours entre les PME et les grandes entreprises (de 250 à 4999 salariés), présentent un atout incontestable pour l’économie nationale.

La Banque de France souligne leur poids dans la balance des investissements totaux en France : près de 40% sont réalisés par les ETI. Outre une génération d’emploi et de revenus non négligeable, celles-ci se révèlent particulièrement tournées vers l’international ; elles s’imposent en tant que rivales face à de nombreuses entreprises de grande taille, qui, par leur structure plus dense, sont moins réactives.

Leur méthode de développement (principalement la croissance externe) les amène à innover en permanence, en termes de procédés, de services, de produits… et de management. Plus de 4 ETI sur 10 ayant effectué une opération de croissance externe envisagent d’en réaliser une autre au cours des deux années à venir. Motivations principales : acquisition de nouveaux marchés et développement du chiffre d’affaires.

Inside management assiste les ETI dans toutes les phases de leur développement, en leur proposant une offre adaptée en management de transition.

Source : Banque de France, KPMG.

Génération Y, la nouvelle gestion des hommes à l’horizon 2020

Les futures générations de travailleurs et d’entrepreneurs continueront d’être significativement différentes ; les sociétés qui s’adapteront le plus rapidement bénéficieront d’un avantage colossal.

Les temps changent, les individus aussi. Le climat des affaires au sein duquel nous nous trouvons, à échelle nationale et mondiale, évolue à une vitesse telle qu’elle impose à nos entreprises de faire preuve d’une faculté d’adaptation toujours plus forte.

Les talents de demain, ceux que le cabinet d’audit PwC (PricewaterhouseCoopers) nomme les “millenials”, vont donner une dimension stratégique au capital humain et à la rétention des savoir-faire. La “proactivité”, voici le rôle que va endosser la fonction RH dès demain ; mettre en exergue la nécessité de disposer des personnes clés au bon moment pour optimiser les performances globales sur le long terme.

Le développement de carrière et l’expérience internationale sont les deux sources de motivation centrales pour nos futurs entrepreneurs. D’autres critères révèlent un besoin de mobilité,tels que la flexibilité exprimée par les jeunes générations pour changer d’employeur si celui-ci ne met pas en place un système de challenge individuel. L’étude de PwC démontre que 1 personne sur 3 souhaite progresser au sein d’une même entreprise, mais au travers d’une multitude de responsabilités et de rôles.

Pour en savoir plus : PwC.

Les PME, de mains en mains

Reprendre une entreprise : un gage de dynamisme et de vitalité pour le tissu économique.

La cession-transmission d’entreprise est loin de se limiter à un simple acte de vente qui traduirait la fin de carrière professionnelle de son dirigeant. Au contraire, selon l’observatoire BPCE, près de 60% des opérations de transmissions interviennent avant l’âge de 55 ans.

Au sein de cette démarche, l’expert-comptable s’impose comme un acteur crucial. Contact privilégié pour inside management, il est le premier conseiller de l’entreprise et de son dirigeant. L’expert-comptable agit dans une optique stratégique et accompagne le chef d’entreprise dans ses réflexions majeures : patrimoine, contraintes financières, ou encore fiscalité.

Les cessions d’entreprises – et plus particulièrement celles des PME – vont requérir un audit complet des moyens et ressources à mettre en œuvre pour assurer l’opération et minimiser les risques. Dans ce type de contexte, inside management intervient régulièrement pour soutenir les PME-PMI et les accompagner durablement dans leurs projets, en post ou pré-acquisition.

Pour en savoir plus : l’observatoire BPCE.

Raffinement et pétillance : Ackerman, la bulle d’exception qui s’invite à votre table

Deux siècles de savoir-faire et de finesse au cœur des caves de Saumur. Pour la maison Ackerman, qui vient de célébrer son bicentenaire l’an dernier, chaque bulle représente naturellement un fragment d’histoire. Ces deux cents ans d’expérience lui ont permis de développer des méthodes de vinification exceptionnelles et authentiques au sein du Pays de la Loire.

Premier vignoble Fines Bulles en France, leader sur l’AOP Saumur, Ackerman s’engage durablement à mettre à la disposition de ses clients un vin qualitatif, issu d’une recherche permanente en innovation.

Axées sur l’élégance et l’accord parfait entre mets et vins, le secret des gammes de spiritueux Ackerman se transmet au fil des générations dans le respect des hommes et des terroirs.Frais et fruités, ses vins apportent tradition française et luxe aux plus beaux moments de convivialité.

Pour en savoir plus : les vins Ackerman.

Lyon, capitale de l’entreprenariat et siège de la créativité

Entreprendre aujourd’hui : une prise de risque inconsidérée ou une brique supplémentaire pour renforcer notre socle économique ?

La notion “d’entreprise” est composée de multiples facettes, à la fois indépendantes et complémentaires entre elles. Outre les exigences requises par la création d’une entreprise (charge de travail, investissement personnel et financier…), entreprendre constitue avant tout une preuve de liberté, de mobilisation d’efforts et d’engagement économique à petite ou à grande échelle. Alain Goetzmann, Président de Delta Inter Management, confirme la nécessité d’encourager la création d’entreprises et de mobiliser de jeunes talents pour, à terme, constituer un socle économique pérenne.

Unanimement reconnue pour son dynamisme entrepreneurial, la ville de Lyon bénéficie notamment du soutien du Grand Lyon qui se positionne volontiers comme un acteur fédérateur des industries créatives “made in Lyon”. La CCI de Lyon nous apprend que depuis 2003, le nombre de créations d’entreprises au sein du Grand Lyon a augmenté de près de 70%. Selon l’Insee, plus de 9 entreprises sur 10 en France sont des PME. Des structures qui témoignent d’une capacité d’innovation et de flexibilité exemplaires, malgré le plus souvent un défaut de ressources managériales et humaines face aux contextes inédits.

Dans ces situations d’exception, Inside Management apporte son expertise managériale de pointe et soutient le développement des acteurs économiques du Grand Lyon.

Le changement ferait-il peur aux français ?

L’inconnu, l’incertitude et l’inexpérimenté seraient à l’origine d’un manque de confiance des managers français dans l’appréhension du changement.

Diverses enquêtes et études professionnelles ont été menées au cours de ces derniers mois et révèlent des traces de scepticisme face au changement en France. Une tendance qui n’a rien de nouveau dans l’hexagone, à en croire certains auteurs et psychologues reconnus tels que Geert Hofstede.

Une étude conduite en 2012 par le cabinet Mercuri Urval révèle que nos voisins européens auraient quant à eux une approche plus ouverte face au changement. En effet, on ne retrouve pas cette crainte de ne pas être à la hauteur en Allemagne ou en Italie par exemple, où plus de 90% des managers regardent le changement comme une perspective d’évolution de carrière. Même chose en Espagne avec près de 90%, bien que souvent, cet engouement face au changement s’avère plus modeste et orienté vers le court terme.

Moins d’un manager français sur trois (29%) considère le changement comme une source d’opportunités professionnelles. Un chiffre relativement faible qui résulte d’un manque de confiance personnelle de la part de nos managers face à la multiplicité des objectifs que leur fixent leurs dirigeants. Un contexte parfois bloquant qui trouvera souvent ses solutions auprès des managers de transition, spécialistes de cet accompagnement du changement, y compris dans les situations délicates.

Industrie : les entreprises rhônalpines confirment les améliorations économiques régionales attendues

La Banque de France persiste et signe : après un début d’année difficile, la conjoncture économique en Rhône-Alpes évolue positivement.

L’accroissement de la production industrielle et la consolidation du marché intérieur traduisent la bonne orientation du pôle Industrie (20% des effectifs de la région). “Une majorité de TPE et PME de la région comptent investir dans un futur relativement proche” déclare Jean-Paul Mauduy, Président de la CCIR Rhône-Alpes.

“Les perspectives de 2012 font apparaître une nécessité d’innovation et de modernisation pour mener à bien cette gestion de crise. Le recours à une expertise managériale externe permettra à de nombreuses entreprises de prendre un nouveau départ. De tels investissements auront pour conséquences une dynamique régionale certaine et l’engagement de nombreuses structures sur de nouveaux marchés” souligne Jean-Paul Mauduy.

En conclusion : l’essor que connaissent actuellement les cabinets de management de transition au sein de la région… ne doit rien au hasard.

Rhône-Alpes : des rémunérations en hausse et une région attractive

Une étude publiée sur le site de Cadremploi.fr compare les rémunérations entre les régions françaises.

Si l’article permet de se faire une idée sur les particularités régionales en termes de revenus, il confirme surtout l’attrait de la région Rhône-Alpes en termes de perspectives pour 2012 :

• Le secteur des transports se porte bien,

• La filière ingénierie et industrie recrute massivement dans les secteurs de la santé et de la biotechnique,

• Les métiers de la finance sont à la recherche de compétences pointues.

Une tendance qui se confirme dans les dossiers actuellement à l’étude chez Inside Management, toutes fonctions confondues. Retrouvez l’étude nationale complète sur le site de Cadremploi.fr.